Le.la chercheur.e exercera sa mission dans un contexte très dynamique qui a récemment culminé avec la découverte des ondes hydromagnétiques rapides dans le noyau de la Terre. Ces ondes ont été détectées grâce aux observations globales et continues des satellites de la mission ESA Swarm (voir ce lien). Nous nous trouvons donc dans une période fructueuse pour la géophysique du noyau Terrestre, du fait de cette découverte et des nombreuses pistes qui s’ouvrent.
La recherche sera conduite en appui au consortium européen 4DEarth, qui réunit des membres de l’IPGP, IsTerre (France), DTU Space (Danemark), University of Leeds (UK) and de l’Observatoire Royal de Belgique, dont la première phase s’est terminée fin 2024 et qui sera reconduit à partir du printemps 2025.
Activités
À partir de la théorie magnétohydrodynamique décrivant ces ondes, le.la chercheur.e développera un modèle capable de restituer l’ensemble des modes pouvant s’exprimer dans le noyau. Il.elle étudiera ses signatures afin de les comparer à l’observation satellitaire. Il.elle pourra pour cela tirer parti de l’expertise internationalement reconnue de l’IPGP dans le domaine de la simulation numérique de la physique du noyau. Il.elle profitera aussi du réseau fructueux de collaboration établi par le projet 4DEarth.
Compétences
Le.la candidate aura une formation en mécanique des fluides, mathématiques appliquées et/ou sciences de la Terre. Le.la candidate interagira régulièrement avec des chercheurs au sein de l’espace européen, une compétence solide en Anglais scientifique parlé et écrit est donc attendue.
Le.la candidate devra détenir un diplôme de doctorat, ainsi qu’une expérience de recherche post-doctorale d’au moins 3 ans.
Contexte de travail
Institut de recherche en géosciences de renommée mondiale fondé en 1921, associé au CNRS, établissement-composante d’Université Paris Cité et regroupant plus de 500 personnes, l’IPGP couvre toutes les disciplines des sciences de la terre et des planètes via l’observation, l’expérimentation et la modélisation, à toutes les échelles de temps et d’espace.
Les thématiques de recherche sont structurées à travers 4 grands thèmes fédérateurs : Intérieurs de la Terre et des planètes, Risques naturels, Système Terre, Origines.
L’IPGP a aussi la charge de services labellisés en volcanologie, sismologie, magnétisme, gravimétrie et érosion. Notamment, les observatoires permanents de l’IPGP surveillent les 4 volcans actifs français d’outre-mer en Guadeloupe, en Martinique, à la Réunion et à Mayotte (REVOSIMA).
L’IPGP héberge des moyens de calcul puissants et des installations expérimentales et analytiques de dernière génération et bénéficie d’un soutien technique de premier plan.
Le département de la formation et des études doctorales de l’IPGP offre à ses étudiants des formations en géosciences qui associent observation, analyse quantitative et modélisation et qui reflète la qualité, la richesse et la diversité thématique des recherches menées par les équipes de l’IPGP.
L’équipe de Géomagnétisme est dédiée à la mesure, l’analyse et la modélisation du champ magnétique de la Terre. Spécifiquement, le poste se situe dans la modélisation numérique des mouvements dans le noyau de la Terre et de la génération du champ géomagnétique.
Institut de recherche en géosciences de renommée mondiale fondé en 1921, associé au CNRS, établissement-composante d’Université Paris Cité et regroupant plus de 500 personnes, l’IPGP couvre toutes les disciplines des sciences de la terre et des planètes via l’observation, l’expérimentation et la modélisation, à toutes les échelles de temps et d’espace.
Les thématiques de recherche sont structurées à travers 4 grands thèmes fédérateurs : Intérieurs de la Terre et des planètes, Risques naturels, Système Terre, Origines.
L’IPGP a aussi la charge de services labellisés en volcanologie, sismologie, magnétisme, gravimétrie et érosion. Notamment, les observatoires permanents de l’IPGP surveillent les 4 volcans actifs français d’outre-mer en Guadeloupe, en Martinique, à la Réunion et à Mayotte (REVOSIMA).
L’IPGP héberge des moyens de calcul puissants et des installations expérimentales et analytiques de dernière génération et bénéficie d’un soutien technique de premier plan.
Le département de la formation et des études doctorales de l’IPGP offre à ses étudiants des formations en géosciences qui associent observation, analyse quantitative et modélisation et qui reflète la qualité, la richesse et la diversité thématique des recherches menées par les équipes de l’IPGP.
L’équipe de Géomagnétisme est dédiée à la mesure, l’analyse et la modélisation du champ magnétique de la Terre. Spécifiquement, le poste se situe dans la modélisation numérique des mouvements dans le noyau de la Terre et de la génération du champ géomagnétique.